Notre histoire
Les Résidences Prendre Soin et Accompagner (RPSA) sont étroitement liées à la Caisse de prévoyance de l’Etat de Genève (CPEG) puisqu’elle est leur actionnaire et propriétaire immobilier.
Grâce à une fondation de droit privé et une société à responsabilité limitée (Sàrl), toutes deux sans but lucratif, RPSA a pour mission d’exploiter des bâtiments en faveur de personnes âgées et d’y offrir des prestations adaptées à leur niveau d’autonomie et à leurs besoins de sécurité. La CPEG qui est actionnaire de cet ensemble contribue à sa gouvernance au travers d’un Conseil de Fondation.
La Petite Boissière fut le premier établissement médico-social de la Fondation en 1989, Les Charmilles ont ensuite rejoint l’institution en 1992, tout comme Les Jardins du Rhône, première résidence pour seniors autonomes. Et c’est en 2014 que le nouveau bâtiment médico-social de Liotard a ouvert ses portes.
De l’avis des résidants mais aussi des visiteurs de chacun de nos lieux de vie, il ressort très souvent le même commentaire : « Ici, il y a une ambiance particulière; on s’y sent bien ! »
Des lieux de vie
Pour les EMS de La Petite-Boissière, des Charmilles et de Liotard, une prise en soin est organisée pour les personnes ayant besoin d’aide pour les actes de la vie quotidienne. Nos collaborateurs sont également compétents pour l’accompagnement de fin de vie, permettant aux résidants et à ses proches de bénéficier d’un environnement plus adapté en termes de confort et de soutien que le milieu hospitalier.
La résidence les Jardins du Rhône s’adresse quant à elle aux seniors autonomes qui souhaitent se sentir plus en sécurité et profiter d’un accompagnement social. Une prise en soin, fournie par un prestataire de soins à domicile de leur choix, est également possible au besoin.
Nos établissements possèdent la caractéristique originale de valoriser l’interdisciplinarité. Ainsi, les collaborateurs placent le résidant au centre de toute activité et de toutes leurs attentions. Quelle que soit sa fonction, tout collaborateur prend en compte la personnalité, le vécu et le degré d’autonomie du résidant.
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